[49] Everytime that we meet, I skip a heartbeat .×
Hayden, Hayden, you are so cute when you are angry. Really. <3
(Hum... Breogan, step back.)
Hayden, Hayden, you are so cute when you are angry. Really. <3
(Hum... Breogan, step back.)
Un petit air de country juste parce que les cordes de la guitare forment un sourire. Ce qui me pousse à t'écrire ce soir ? Le manque des mots, un peu, beaucoup. Écrire me manque, mais tout reste coincé. Est-ce que mon stylo va exploser de toutes ces phrases contenues, un jour ? Ou mes doigts, ma tête ? Des tâches d'encre partout sur mon cahier raturé et mon écran doré à la pâte Fimo. Je ne sais pas vraiment pourquoi et en même temps, je sais un peu. Ça ne te l'a jamais fait ? Penser à ce qui te manque et à ce que tu as, mais pas tout à fait. Ne pas l'écrire exprès, juste l'écrire parce que c'est comme ça qu'est ta vie, là-bas, comme elle devrait l'être ici aussi.
C'est un peu malsain, non ? Alors, le cerveau, l'esprit, l'âme, un truc en soi met tout en pause. Pas seulement tes autres vies, mais celle-ci aussi. Celle dans laquelle tu te dépêtres, celle où tu te blesses et où tu trébuches même en dansant, parfois. Souvent.
On ne pense pas à l'avance. De toute façon, quand on est en pause, l'avenir n'existe pas, si ? Alors on vit mais sans plus. Sans notes de piano, couleurs saturées ou chocolat chaud.
On vit comme on déteste, sans extraordinaire ordinaire et même ordinaire sans extra. Au ralenti, alors que le temps file à la même vitesse. Seulement, nous, on va plus lentement que lui. Qu'est-ce que c'est frustrant, cette impression de ne pas faire de bruit, d'avancer à pas de loup sans rien déranger, comme un ninja tout habillé de gris !
Des fois, je pense à Cadiz. D'autres à Boston. Et la plupart du temps, je ne pense à rien, parce que ça ne sert à rien (rien, rien, tu suis ?) de ressasser des choses qu'on aura jamais, en pleurnichant. Je regarde les autres passer, parce que quand on va au ralenti, tout le monde nous dépasse. On a moins de souffle, moins d'enthousiasme, on laisse filer. On arrivera bien un jour ! Je me dis qu'ils ont de la chance, ceux qui me dépassent. Ou pas, suivant les cas. Je pense qu'ils font bien, ou qu'il font mal. Je prends un peu de leur joie ou de leur peine, leur humeur devient la mienne. Et puis ils vont trop vite et je les perds, et d'autres viennent. Une spectatrice sensible, un brin trop d'empathie. Pour quelqu'un qui aurait adoré être actrice - j'avais écrit artiste, le conditionnel - je trouve ça un peu paradoxal !
Peut-être que est-ce parce que je suis toute seule ? Enfin, pas exactement. Peut-être que c'est parce que je suis toute seule et que d'autres me manquent ? C'est différent, n'est-ce pas ? Avant, je vivais déjà dans le mauvais monde. Oui bon, on a tous nos petits défauts. Petite déjà, les miroirs et les balances me rendaient malades. J'étais l'intello bizarre qui lisait trop et passait sa vie toute seule. Mais ça ne me dérangeait pas vraiment. Être mal à l'aise, ça n'est pas grave, on apprend à être différent. Tous les gens qui me manquaient n'existaient pas dans ce monde. Je crois que je m'y suis vite fait. J'étais bien, dans ma bulle, confortablement assise contre sa paroi élastique. Maintenant, des gens me manquent aussi dans ce monde. Avoir conscience de ce que ça pourrait être si... Le vouloir. Vouloir le réel, pas celui-ci, non, mais le nôtre, les rêves. L'absence partout, partout, partout. Mais on n'apprend pas l'absence, hein ?
D'accord, je ne réfléchis pas trop là, en écrivant. C'est compulsif. Les mots sortent et se posent sans me demander mon avis. Il fait presque nuit, mais encore jour, un paradoxe, tu vois, encore une fois. C'est un peu notre signature, les paradoxes. J'aime bien être ici, à côté de l'eau, ça tintinnabule de plic et de ploc, un peu comme des rires. Mais je crois qu'un peu d'agitation m'aiderait à reprendre le rythme. A part les feuilles des arbres et de mon cahier dérangées par le vent, rien n'est très agité, ici.
En fait, je vis par l'imagination. Dans chaque situation, j'imagine. J'imagine la situation, avec lui, avec eux, avec vous tous. J'imagine les voix, les parfums, les mots moqueurs mais réconfortants, les regards, les mains, les sons - des rires, des pendentifs ou des bracelets qui s'entrechoquent, des pas, des cailloux jetés à l'eau, des éclaboussures et des cris. Peut-être que j'étais plus forte avant. J'aimerais savoir courir, danser. Vivre tout à la fois. Comme si je pouvais écrire mon ici. Les matins, être impatience de pouvoir fixer ma journée sur le papier. Oh, bien sûr. Je n'attends pas de miracle. Juste un petit plus. Des notes de piano ? Quelque chose comme ça. Juste l'un de ces petits signes qui remettent en marche tout ce qui s'est arrêté, sans que ce soit exceptionnel. On les connait. Un chocolat chaud. S'il ne faisait pas si chaud.
Tu me manques, mais tu le sais, n'est-ce pas ? Tout ça... Tous tes sentiments que je lis, tout ce qui est arrivé avec l'Autre, avec un A - non non, pas pour désigner l'ensemble des autres comme dans le dictionnaire mais pour lui et juste lui, puisqu'il a été spécial, tous tes moments de solitudes, toutes les bêtises qu'on pourrait faire toute les deux. Je ne peux pas être là et ça me fait chier. Comme ça, avec ces mots-là.
Je ne suis pas très douée pour l'amitié, parce que je ne suis pas très douée avec les autres - sans majuscule, cette fois. Je ne suis pas une amie parfaite qui sait ce qu'elle doit faire dans chaque situation, ni une amie qui peut être là à 4 heures du matin, à attendre, assise à côté de ton lit, que tu t'endormes après un chagrin quelconque. Je ne suis pas une amie qui sait se confier, avec des pensées claires et ordonnées. Je ne sais pas parler, j'ai l'esprit embrouillé et un luna-tic au rythme brouillon dans la tête (n'oublie pas que le métronome est tenu par un Magicarpe turquoise.) Je suis loin, je suis différente, je suis un peu folle - folie douce, je ne suis même pas sûre - et super maladroite. J'ai une gueule un peu trop grande et des idéaux un peu trop grands. J'imagine et je vivrai ensuite mais j'agis avant de réfléchir. Je suis intelligente mais pas constante, ce qui ne sert pas à grand chose. Je suis calme et distante et tout m'atteint, les mots et les notes d'une histoire. Je suis lucide mais je m'efforce d'être naïve et de ne voir que les couleurs.
Brefle, tu l'as compris depuis longtemps, je ne suis pas parfaite. Mais j'aime t'écouter - te lire, tes journées, tes histoires, cette vie et les autres. J'essaye de t'aider comme je le peux avec ma présence fantomatique et je t'envoie par télépathie plus de force que je n'en ai. Je crois que j'arrive à te faire sourire et rire, un peu.
Ce qui me pousse à t'écrire ce soir ? Tu me manques. On est pas devenues (a)miies. On l'était, c'est tout. On est pas sœurs et on ne se connaissait pas avant de savoir lire. Non. Je n'étais pas là pour ton dixième anniversaire et tu n'étais pas là quand je me suis fait couper mes longs cheveux au carré. Bon. C'est sûr, on a loupé des choses. Le temps n'a pas aidé. On en loupe encore. La distance non plus. Mais ça n'est pas si important. On est miis et tout ça, on surpasse. Les années, les kilomètres ? Rien du tout. On est parfaitement semblables et parfaitement différentes. On brille de la même lumière, la lumière des étoiles - du ciel ou des tapis oranges. Comme je suis prétentieuse, je trouve que nos différences se complètent juste comme il faut. Elle m'ont fait écrire, elles t'ont fait écrire, elles nous font crier, bouder et changer. Tu m'aides à grandir. Non, pas comme tous ces gens gris qui enchaînent les homélies sur la bienséance, les bureaux, le rangement, les différentes teintes de gris qui valent bien les couleurs. Tu m'aides à démêler tous les tours et spirales de mon esprit alambiqué et à m'accepter, tu me pousses à m'ouvrir, à grandir sans grandir.
Alors même si ces phrases s'enchaînent sans logique ni sens, merci d'être là, mii. Je te tiramisu, c'est tout, et j'avais envie de le dire !
Pour ne pas oublier ces fiches qu'on a écrites toutes les deux... J'ai rajouté la fiche de Breogan avec la tienne et celle de Joe, même si c'est un personnage de mon été... Après tout, on ne fée qu'un(e) ! Je garde les originaux, parce que ton écriture oblige. Oh, et j'ai remarqué que le second prénom de Joe/Luca était Adam... Amusant, c'est aussi le nom officiel de la Bête ! Je les aime, je vous aime. <3
Luca Hendricks
Nom à rallonge : Luca Adam Hendricks
Surnoms : Lucky Luca, Beasty par Tanja, August kid par ses parents
Date de naissance : 15 août (il a le même âge que Luna)
Lieu de naissance : Orange County
Lieux de résidence : Quelque part en Californie, une maison familiale en Argentine, Lincoln Center for the Performing Arts - New York City, Madrid
Nationalité : Américaine
Origines : Hollandaises par son grand-père paternel, très lointaines racines espagnoles (colonies espagnoles au Pays-Bas)
Famille : Son père, Antwan (46 ans) est ingénieur en informatique, sa mère, Amelia (44 ans), tient une boutique d'huiles essentielles. Sa soeur, Tanja, a 17 ans et est en seconde année de lycée.
Etudes : Elève de la Juilliard School pendant deux ans, il a choisi de profiter d'un échange pour passer sa troisième année à l'Estrellita, en Espagne. Major en chant, minor en composition.
Des goûts et des couleurs
Il parle : Anglais et espagnol (argentin) / Instrument : Il joue de la guitare depuis trop longtemps pour se rappeler quand il a commencé ! / Animal : Il possède un husky, Ploutch, dont il a du mal à prononcer le nom (pour le plus grand plaisir de sa soeur) / Chanson : Only Hope, Switchfoot
Signes particuliers : Il porte le moins possible ses lunettes ☆ son mot préféré est Supercalifragilisticexpialidocious ☆ il joue au Wiffel Ball ☆ il aime bien tourner des mini-films ☆ il a déjà joué à Broadway dans La Belle et la Bête ☆ il rencontre Cameron à Madrid, alors qu'il joue avec d'autres étudiants de Juilliard au basket...
Tanja Hendricks
Nom à rallonge : Tanja Rosa Hendricks
Surnoms : Dja, August kid par ses parents, Princess au lycée, comme ses deux meilleures amies, Jess et Lela
Date de naissance : 20 août
Lieu de naissance : Orange County
Lieux de résidence : Quelque part en Californie, une maison familiale en Argentine
Nationalité : Américaine
Origines : Hollandaises par son grand-père paternel, très lointaines racines espagnoles (colonies espagnoles au Pays-Bas)
Famille : Son père, Antwan (46 ans) est ingénieur en
informatique, sa mère, Amelia (44 ans), tient une boutique d'huiles
essentielles. Sa frère, Luca, est étudiant en musique à la Juillard School
Etudes : Seconde année de lycée.
Des goûts et des couleurs
Il parle : Anglais et espagnol (argentin) / Instrument : Elle a appris à jouer de la guitare grâce à son frère / Animal : Elle possède un husky, Ploutch
Signes particuliers : Elle a le vertige et déteste devoir utiliser les ascenseurs ☆ avec Jess et Lela, elles sont un peu les princesses du lycée ☆ quand elle n'a rien à faire, elle regarde Animal Planet ☆ elle adore le Louvre et Paris ☆
~ A compléter ~
Stella Ray Sánchez
Calling you : Ela, Belle
Summer age : 17 ans
Party time : 10 décembre
I am what I am : Née à San Diego (Californie), amécaine, origines espagnoles par Adam.
She's so lovely : Ela a des yeux chocolat qui, bizarrie
colorée qu'elle affectionne, virent au vert les jours de grand soleil.
C'est une obsessionhair, aussi prend-elle grand soin des siens qui lui
arrivent presque à la taille, brun foncé, lisses ou bouclés selon ses
humeurs. Elle a pris tout le côté espagnol de son père (sans rien
laisser à Ayleen) et, par là, sa peau déjà mate à la base bronze très
facilement.
Because I'm awesome (in seven words) : Solaire, fonceuse, (besoin d'être) hyperactive, têtue, peste, sociale (mais au fond un peu) timide.
Here we are : San Diego (37102 County Road 452, Pacific Beach, CA) / Los Angeles (9142, Southern Breeze Dr.,Toluca Lake, CA)
What I go to school for : Elle vient de terminer sa troisième année à la Barrymore School of Arts.
Play my music : Stella joue du piano (et un peu de guitare grâce à Joe.)
Shame and scandale in the family : Sœur presque jumelle – Ayleen Sánchez, père - Adam Sanchez, mère - Monica Avelon
Just wanna be with you : Ayleen, Meaghan, Christpher, Sora, Alisha
It is really just another crush? : Drew Tingery, Tyler Hewer, Matthew Loveless
Jump in : Avalon sur l'île Santa Catalina, dans l'Archipel
des Channel Islands situé au large de Los Angeles. A environ 35
kilomètres de la côte.
What I've been looking for : Camp
d'été de musique assez réputé - elle a été admise grâce à ses notes en
musique et les rôles qu'elle a décrochés dans les musicals de son école
durant les trois dernières années.
Just the way I am :
- coffe-addict ;
- déteste partager son lit ;
- aime dormir et les grasses matinées ;
- vintage-inspired.
*
Joe Davies
Calling you : Monsieur Au-revoir-avant-bonjour, Mr Hello-Goodbye
Summer age : 19/20 ans
Party time : 15 août
I am what I am : Née à Phoenix (Arizona), américain.
My best friend's hot : Si Joe et Ela ont un point comment,
c'est leur hair'obsession ; comme Ela, Joe a les cheveux bruns. Ses
yeux mordorés sont assez perturbants, inquisiteurs. Sa peau est très
hâlée.
Because I'm awesome (in seven words) : Condescendant, contradictoire, flegmatique, déroutant, charmant (quand il veut...)
Here we are : Hanover (New Hampshire), Santa Fe (Nouveau-Mexique)
What I go to school for : Il a bouclé sa première année au Darmouth College, même s'il ne sait pas s'il va y rester très longtemps...
Play my music : Il joue de la guitare, forcément.
Shame and scandale in the family : Grand frère – Jason (23 ans)
Just wanna be with you : Christpher, Missa, Jemma
It is really just another crush? : Renea, Joy, Leila d'une certaine façon...
Jump in : Avalon sur l'île Santa Catalina, dans l'Archipel
des Channel Islands situé au large de Los Angeles. A environ 35
kilomètres de la côte.
What I've been looking for : Camp
d'été de musique assez réputé – c'est sa troisième année là-bas. Il a
signé un contrat avec un nouveau label montant au mois de mars.
Just the way I am :
- son mot préféré est Supercalifragilisticexpialidocious... C'est leur « mot-clé », à lui et Missa ;
- il adore le climat du Nouveau-Mexique et d'Arizona... Il a besoin de chaleur ;
- il n'a pas connu la Belle et la Bête par Walt Disney mais par le film de Jean Cocteau que Missa adore.
*
Breogan Sanpedro
Summer age : 21 ans
Party time : 26 juin
I am what I am : Né à Phoenix (Arizona), origines espagnoles par sa mère (comme Stella et Ayleen), américain.
She's so lovely : Essayons d'être court, pour évitez à
l'ego du concerné de grandir un peu plus encore... (Est-ce seulement
possible ?) Il a les yeux noirs (et les yeux noirs, c'est déroutant) et
les cheveux bruns plutôt courts.
Because I'm awesome (in seven words) : Séducteur, flegmatique, calculateur, agaçant, entier, sincère, attirant (comme un aimant).
Here we are : Biloxi, Missipi.
What I go to school for
: Il vient de terminer sa seconde année de journalisme à l'université
Vanderbilt de Nashville, dans laquelle Hayden a prévu de le rejoindre
en septembre.
Play my music : Son fidèle harmonica le suit partout.
Shame and scandale in the family :
Fils unique (ce qui n'a pas arrangé son caractère, je suppose), mère –
Ania (45 ans, publiscite), père – Daniel (47 ans, journaliste.)
Just wanna be with you : Hayden, Iria, beaucoup de ses admiratrices... et Ayleen, à Boston.
It is really just another crush?
: Hope Kallis, Debby Munroe, Ashley Greenwald, Sarah Linley... Oui bon,
si on les cite toutes, on est encore l'an l'an prochain.
Jump in : Boston, Massachuets
What I've been looking for : Monsieur s'ennuie et décide de rejoindre Hayden sur un coup de tête.
Just the way I am :
- tatouage dans le cou (une étoile) ;
- possède un harem (évidemment !) ;
- prépare d'onctueux smoothies (dont Ayleen raffole) ;
-
connait Hayden depuis six ans et le considère comme sa plus grande
réussite (il l'appelle mini-moi, ce qui plait moyennement au concerné
!) ;
- adore les pommes.
Parce que j'aime l'Argentine, HSM, Crys qui m'a fait découvrir ça ce soir, et parce que ça me plonge dans Canción d'une telle force que je viens de relire les trois premiers chapitres. Parce que c'est la devise de l'Estrellita, Actuar, cantar, bailar.
Oh Edu, tu me manques ! Je nous aime ! Canción, canción, canción ! (dit-elle en écrivant... Devine quoi ?)
Même si physiquement, Vanessa, c'est toi (si !), j'imagine tellement bien une conversation comme ça entre nous avant mon départ à Stanford. Pas à cause de mon Troy, nope, puisque je n'ai pas encore rencontré Hayden mais parce que je n'aurais pas spécialement envie de me séparer de San Diego, de nos endroits, du lycée (même si...), de toi.
Et puis, Zac oblige, hein ? Et la scène avec les deux "balcons"... Promets-moi de nous faire une cabane dans un arbre d'un des parcs de Boston, à moi et Hayden. Moi... Ne t'inquiète pas, je m'occupe de Joe et toi ! (Joe : Si tu savais à quel point !)
(Non, Joe n'a pas des bouts en avant-première, ou alors, c'est Hayden qui lui les passe !)
We're leaders, we're winners, we're cleaner (but... we do need them.)
J'écris ici parce que tu me manques. Et parce qu'ici, c'est le bout de Taraly auquel je me raccroche, comme ta seconde étoile à droite.
Ca fait trop longtemps. C'est plus dur, maintenant que je sais ce que ça pourrait être si on était ensembles, à l'appartement 707 ou à Pacific Beach. Il n'y a pas eu un blanc quand on s'est retrouvées, à la gare. Quand les silences s'installaient, ils étaient naturels, on n'avait simplement pas besoin de mots pour savoir ce à quoi l'autre pensait. C'était normal, et magique à la fois. C'est après que ça a été bizarre. De retomber dans une réalité où j'étais toute seule, ou je n'avais pas ma petite âme en double, avec qui faire de la balançoire, parler aux étoiles, partager des films magiques, théoriser sur l'évolution de l'homme et des ninjas, se promener la nuit à travers une ville d'où s'échappe les notes d'une musique espagnole, être des Tentalas, pleinement nous. Nos connexions tangibles, la porte qui allait s'ouvrir... Le moment où j'ai écrit le texte sur Victor et toi... Ce bout d'histoire est fort, très fort parce que tu étais là, juste à côté, et que ta présence imprégnait tous mes mots. Comme le 18. Avec le train, la gare perdue, Simba sur la falaise, l'assassinat au crayon papier, t'écouter chanter... Et le banc, notre banc, Taraly, ta rivière magique, tous ces moment ordinaires qui devenaient à part, parce qu'on était toutes les deux. Pay et Bri.
Je ne sais pas pourquoi ces souvenirs remontent ce soir plus qu'un autre. C'est comme ça, on ne choisit pas. Ca fait presque deux ans. Je vais avoir 20 ans, et si je ne suis pas à Boston cette année, alors autant passer l'été avec mon rayon de soleil, na !
You’ve given me something I need
And I don’t ever want it to end
Because of you
I know I’ve found my strength again
Merci alma mia. D'être à part et de m'avoir aidé à... écrire, vivre. Tu sais, je suis tellement maladroite que même ça, ça devient compliqué pour moi ! Mais pas avec ma mii !
D'avoir fait en sorte que je ne suis plus jamais toute seule, même dans ce monde. Parce que tu es avec moi dès que je lève les yeux au ciel, Mademoiselle Soleil !
J'avais juste besoin de le dire ici.
Parce qu'on est des clés de Fa ! Parce que musique et fatalité obligent, parce que ça nous va bien, les Clés de Fa.
Te nem fort, hey du hey la.
Cause nothing can break this tie... Connected inside.
(Parce que y a que toi qui me fait presque être photogénique.
Tu conjures le sort des appareils photos !)
Playlist
Today - Smashing Pumpkins
Tonight - Jonas Brothers
Touch my hand - David Archuleta
If you want to touch his hand...
Playlist
Our time is here - Demi Lovato
Hello Goodbye - Jonas Brothers
Two worlds collide - Demi Lovato
In case you were looking the star to Avalon...